© Caroline Garino

© Stephan Balay

Ghislaine Verrhiest, chargée de mission Inondation arc méditerranéen (MIIAM), DREAL Provence-Alpes-Côte d’Azur :


“ Face aux risques d’inondation et aux effets de changement climatique, quel avenir souhaitons-nous construire, aujourd’hui et maintenant, pour nos enfants et les générations à venir ? C’est une des questions fondamentales que pose la pièce de théâtre 16431 – Souvenirs d’avenir. Au-delà d’un socle de réflexion et de débat sur le sujet des risques majeurs, cette œuvre nous invite à méditer sur la transmission,

l’humilité face à la nature, la fragilité de notre environnement, notre capacité d’anticipation et de préparation, notre résilience…  Un texte captivant, un univers futuriste, une mise en scène de grande qualité, une musique envoutante, une belle performance d’acteurs, qui ne laisseront pas indifférents les adolescents, les jeunes adultes, leurs enseignants et leurs parents. Un excellent support artistique pour débattre de la prévention des inondations et de nos moyens d’action. A ne pas manquer ! ”

Christine Kieffer, Coordonnatrice Risques Majeurs de l’Académie de Lyon :


“ Un grand spectacle est né de cette nouvelle collaboration avec Renaud Rocher. Les décors massifs et sombres, l’ambiance musicale live, le jeu impeccable des comédiens, nous plongent dans un monde futuriste, des catastrophes, une organisation déshumanisée, qui interrogent durablement le spectateur.”


Evelyne Allain, Directrice de l’IFFO-RME (Institut Français des Formateurs Risques Majeurs et protection de l’Environnement) :


“ Cette pièce particulièrement adaptée aux lycéens voire aux collégiens, surprend, heurte, interroge sur les enjeux politiques et leurs impacts, sur la vulnérabilité d’une société face aux risques d’inondation et plus largement face au changement climatique. Les destinées de Cyla et de 16431 captivent. Les monologues d’Annuluk (la mémoire des ancêtres), soulignent l’imbrication entre l’Homme et son environnement. La prise de conscience de Noé prouve que la mobilisation et la prévention restent des clés essentielles.”